De retour...au Québec!

(Nous sommes a Besancon, France.)

De Paris à Gorron

29 Mars, suite.

Nous quittons Paris vers midi pour Chartres, en fait nous trichons et restons dans le train jusqu'au Mans. La, nous appelons Romain et Julien, son cousin, dans l’espoir que quelqu’un nous dise quoi faire. Romain répond et nous dit de se rendre à Laval (oui, une ville de France s’appelle Laval, en Mayenne). Nous nous rendons en pouce assez rapidement.

A Laval, Julien nous prend dans un rond point et nous embarque, Léon est dans le coffre pour cette fois parce que c’est une voiture deux places. Il nous emmène à Gorron, chez les parents de Romain, notre destination pour la journée. En entrant, nous constatons la grandeur et la beauté de la maison. Sur la porte de chambre de Romain

Vive le Québec, Vive le Québec ‘’libre’’ !

Bienvenue.

Son père nous offre à boire, à manger et nous parle pendant une bonne partie de la soirée, nous sommes bienvenu! Julien nous emmène dans un petit pub pas très loin et nous finissons la soirée chez Yoann. Nous prenons la décision de changer nos plans pour revoir Romain a Rennes et faire la fête avec Julien et ses amis vendredi.

Mont Saint-Michel et Saint-Malo

30 Mars

Le lendemain, c’est déjà le temps de partir, nous avons décidé de partir aussitôt pour Saint-Malo avec un détour au Mont-Saint Michel. Yoann propose généreusement de nous emmener, à un peu moins de 2h, nous sommes partis.

Quand vous arrivez devant quelque chose comme le Mont Saint-Michel, vous avez toujours la surprise de la taille, la proportion. L’on fait la remarque sur les pierres, chacune d’elle a du être transporté, sculpté et empilé…pensez y, regardez.

Ensuite, départ pour Saint-Malo. Nous marchons sur les palissades de la vieille ville, chargés comme des chameaux. Saint-Malo est une ville côtière, vraiment très belle. Saint-Malo intra muraux est vraiment intéressant. C’est jusqu'à maintenant une de nos villes favorites.

Entre autres, l’explorateur Jacques Cartier vient de Saint-Malo.

Le soir, nous campons à la cité d’Alette, a coté d’un ancien bunker Nazi. Nous remarquons d’importants impacts dans les tours blindés, des obus qui ont ravagé les parois. La nuit tombe rapidement, nous dormons très mal ce soir la, il fait trop froid, il vente a tout rompre et il pleut, pas de chance!

La Cité D’Alette et Presque (le village)

31 Mars

Nous nous levons et allons vers le port pour y trouver de la bouffe dans un café. Nous repartons ensuite vers l’endroit ou nous avons campé pour visiter le musé a 2h30. Sérieusement, même si c’est plutôt un crime de dire cela, nous avons accordé plus d’intérêt envers certaine parties du Musé de la Cité qu’au Musé du Louvre. Pour la simple et bonne raison que nous avions un guide très intéressant, que le musé n’était pas remplis de milliers de personnes et que nous sommes plus calé en Histoire qu’en Histoire de l’Art.

Le guide nous a raconté l’histoire de l’endroit et présenté un film avec de vraies images de la deuxième. Saint-Malo, après le bombardement des américains pour libéré la ville des Nazis, n’étais plus qu’un tas de ruines. Seuls les murs ont été épargnés sous la demande des habitants et les bunkers de la cité parce que les murs de six mètres d’épaisseurs sous terres ont résisté. Le plus gros bunker représente une fois et demi la tour Eiffel en poids, soit quatorze-milles tonnes, si je me souviens biens.

Voici l’ile qui a été bombardé pendant trois jours par les Américains, l’un des endroits au monde le plus bombardé par mètre carré, d’abord par des avions puis par des bateaux. L’on y trouvait un bunker comportant des canons à bombarde ayant une portée de dix-huit kilomètres.

Nous quittons le musé pour aller marcher sur une ile que l’on peu atteindre a marée basse seulement.

Nous quittons ensuite la ville tranquillement, en marchant vers l’autoroute sans trop connaitre la suite, sans trop savoir si nous arriverons a Rennes pour le soir même. Sur le panneau de cartons que nous tenons :’’ Deux Québécois à RENNES’’ .Une femme nous prends d’abord jusqu'à une station service, son fils travaille dans une auberge de jeunesse a Montréal depuis un an et demi qu’elle dit. À la station, un jeune couple nous prend : ‘’on kif trop l’accent Québécois, nous allons au Canada l’an prochain’’. Nous parlerons de tout et de rien puis, ils nous inviterons à coucher à la maison dans un village (Presque) à moins de 30 kilomètres de Rennes. Nous leurs donnerons les contacts des Québécois que nous avons rencontré à Paris puisque la jeune femme étudie dans le tourisme.

RENNES

31 Mars

Nous nous rendons à Rennes au matin, assez rapidement, avec une jeune femme. Arrivé la, nous visiterons un peu et chercherons un endroit ou coucher. Finalement, l’office du tourisme sera la solution en nous présentant  le dépliant du camping des Gailleules. Nous y dormirons un soir.

1^er  et 2 Avril

Le lendemain, nous nous levons et marchons un peu, sans but. C’est une ville très, très fêtarde puisqu’elle est pleine d’étudiants. Julien viens nous chercher de nouveau, le soir pour nous emmener dans l’appartement de son amie (hyperactive marrante qui étudie a Rennes 2 en psychologie). Nous n’avons pas beaucoup visité, nous avons fêté pendant deux jours intensifs, Rennes, ca fait mal au foie. Romain sera de la partie le deuxième soir, toujours bon de revoir un ‘’vieil’’ ami. Nous sortons jusqu'à pas d’heure et veillons jusqu’à 8h a.m. Le matin du 2 Avril fut douloureux, on nous réveille a 11h en gueulant n’importe quoi, ils ne dorment toujours pas.

La jeune fille saute sur le lit et gueule :

 ‘’ allez les Québécois, venez boire aaaaaalllllllllleeeeeezzzzzzzz, ya plein de truc, il fait beau, ya du soleil! Allez, on se bouge on se bougeeeeee!!!’’

Elle revient trois fois et chaque fois elle se pette la gueule sur un truc différent. La première fois c’est dans la porte, la deuxième fois c’est dans son support pour faire sécher les vêtements et la troisième fois, elle arrive :

‘’’ ALLLLEEEZZZZ LES GARS PUTAIN ON SE BOUU………BANG’’

Elle glisse sur un T-shirt et s`éclate la gueule par terre a une vitesse assez impressionnante. Nous rions comme des fous.

Après quoi nous nous levons et Frank est dehors sur la terrasse, nous demande si l’on veut boire

-Non merci, dit Léon.

-ha…ok

- Vous-n’êtes pas trop coke-pute vous les gars? Qu’il demande.

On échange un regard Léon et moi. Tout en ce demandant quel genre de question il nous ramène.

-emmmm….non, on n’est pas trop coke-pute…

-C`est dommage ca, vous manquez quelque chose

Et il s’en va à l’intérieur.

-hahaha, fuck, c’est n’importe quoi, on s’en va, dit Léon.

-Ouais, on va dire bye a Julien..que je dis.

Julien est sur le sofa, terrassé par la nuit dernière, sa main toujours en sang, il c’est ouvert le pouce avec un couvercle de poubelle industriel assez immense, en ville. Il est impossible à réveillé.

Une petite lettre de remercîment et pas de temps à perdre, direction Nantes!

Nantes

Nous prenons la route pour l’autoroute, après une bonne petite marche, nous nous arrêtons près d’une voie d’accotement et des gens nous prennent jusqu'à Nantes, Ce fut très rapide et facile.

À Nantes, Léon a un contact il l’appel et il vient nous chercher à la gare de Tramway qu’il nous a indiqué. Il habite tout près du centre. Nous sortons un peu avec lui le soir venu, c’est plutôt tranquille.  Pier-marie est un Artiste avec un grand ‘’A’’. Très intéressant de parler avec lui. Il joue plusieurs instruments, fait du théâtre, travaille aux machines de l’ile et il est calé en musique rock.

3 Avril

Visite du jardin Japonais et du Château de Nantes qui est aussi le musé de la ville. C’est très intéressant mais beaucoup trop grand. Nous nous souvenons que la ville fut le port négrier le plus important de France, ce qui est assez horrible. C’était aussi jadis la capitale de la Bretagne et c’est maintenant hors de la Bretagne pour des raisons que je ne serais expliqué.

4 Avril

Pier-Marie nous emmène au lac près de Nantes pour une promenade avec une amie. Nous passons une soirée chez lui avec plusieurs personnes, nous mangeons et buvons a la Française.

5 Avril

Léon avait déjà visité les machines de l’ile en décembre et avait adoré. Nous y allons donc, c’est vrai que c’est très impressionnant. L’industrie qui s’y trouve avec plein de techniciens et d’artisans de tout genre construit des robots immenses. Entre autres, une araignée, deux Éléphants, un calmar, un crabe, un dragon, des poissons….Il y a aussi un deuxième projet qui consiste a construite un arbre immense (en métal) remplis de plantes provenant de partout dans le monde qui poussent principalement dans la roche et ne nécessitent pas beaucoup d’eau.

Le soir, j’appel Sam de nouveau, le premier Sam. Le Sam avec qui j’ai passé des jours a faire tout et rien l’été dernier. Nous étions sans travail jusqu’en Aout. Il vendait des billets de loteries dans la rue sous la pluie. Cela me fait étrange de le revoir le soir venu, j’ai l’impression que cela fait déjà très longtemps.

Nous passerons une journée vraiment drôle. Sam et ses colocs nous emmènerons dans une fête. En fait, c’est une compétition qui consiste à élire un conseil étudiant. Les deux groupes cherchent à prouver qu’ils peuvent organiser les meilleures fêtes le soir venu. Le groupe des verts, qui performa ce soir la, ont comme prestation un type qui danse comme Michael Jackson, une danseuse Indou et un groupe de rock. Nous rencontrons une foule de monde ce soir la, notre accent sort du lot et les jeunes sont curieux. Ont me trouvera un surnom ce soir la. Je suis assis sur un banc dehors quand une très jolie jeune femme viens a mes cotés. Elle chuchote à ses amis

‘’Il a vraiment une moumoute lui!’’

Je me défends :

‘’Pardon, tu peux parler plus fort pour que je l’entende moins?’’

Les autres prennent pour ma cause et c’est un délire général. Finalement nous parlerons toute la soirée jusqu'à ce que tout le monde rentre pour cause de classe le lendemain.

Et depuis ce temps la, Léon m’appelle moumoute sans relâche. C’est vrai que je fais un peu ‘’mouton noir’’.

Nulle part…

6 Avril

Perdu dans les échangeurs, nous cherchons a quitter Nantes depuis plus de deux heures, il est passé trois heure de l’après-midi. Nous trouvons enfin la route pour Bordeaux en prenant de gros risques en traversant les autoroutes.

Un jeune nous prendra, nous emmènera jusqu'à l’épicerie et nous déposera sur une route plus loin, nous camperons près d’un rond point. Bordeaux est à plus de 300 km de Nantes.

...

Sur la petite ile de Saint-Malo que j’ai décris plus haut, l’on trouve la tombe de Chateaubriand.

Sur une plaque non loin l’ont peut lire :

Un grand écrivain Français a voulu reposé ici pour n’y entendre que la mer et le vent, Passant, respecte sa dernière volonté.

Nous sommes mainteanant a Rome et nous avons visité Barcelona et carcasone...etc!

Gare de Montparnasse, 29 mars 2010, 14 :00, Paris

Une semaine à Paris c’est assez pour vous rendre dingue. C’est une très belle ville, beige, lumineuse, grandiose avec plein de musés et de monuments. Mais, bon dieu, il y a plus de 11 millions d’habitants. Cela fait plus de 200 stations de RER (trains de banlieue) et Métro, on y trouve aussi le plus grand musée du monde, une des plus grandes tour, le plus grand aéroport, des millions de voitures, etc…

On remarque que les gens sont pressé et parfois froid, cependant, il y a aussi les gens qui s’arrête et vous parles de tout et de rien. Les Français sont plutôt bavards et il y a moyen d’avoir des conversations intéressantes. Ils nous parlent de la France et ont leurs parlent du Québec, la plupart du temps.

Voir: Critique de France

Bref, place aux aventures :

23 mars 21h30, aéroport Beauvais.

Beauvais se trouve à plus d’une heure du centre de Paris par bus. Le bus doit attendre plusieurs avions. Nous sommes donc arrivé sur Paris passé 11h. Arrivé à la station de Métro une voix tonne :

‘’votre attention s’il vous plait, en raison de la grève de la SNCF, la moitié des services seront annulé pour la nuit du 23 mars, les RER et train suivant sont donc hors services…’’

Après avoir traduit pour des jeunes qui ne parlaient pas français, nous partons pour une autre station de métro avec Armel au téléphone qui nous explique ou, quand, comment et pourquoi. Sans lui, je ne sais pas ce qui serait arrivé. Nous courrons de station en station puis arrivons à une gare devant le dernier employé qui barre la station. Il est sympa et nous explique comment se rendre à la Gare de Lyon. Il est déjà 1h30 du matin. Armel s’inquiète pour notre sort. Je lui dis que nous avons son adresse et que tout va bien aller, qu’il peut dormir sur ses deux oreilles parce qu’il doit travailler tôt.

Nous attendons donc le bus de nuit, le Noctilien, l’arrêt de bus se trouve devant le Palais Royale, une partie du musé du Louvre! Le premier bus passe sans nous prendre pour aucune raison apparente…Nous prenons donc le bus vers 2h30 pour la Gare de Lyon. Nous prenons enfin le bus vers 3h30 pour Brétigny et arrivons à destination passé 5h du matin. Armel est joyeux, endormis et rigole comme un fou, nous sommes débrouillards mais malchanceux à souhait.

24 mars, Brétigny sur orges et Notre Dame de Paris

Nous nous levons vers 2h et partons pour Paris, joyeux, curieux, dans le train, tout le monde nous dévisage, même chose pour le métro, la ville! Bon, Léon ressemble a ‘’trouver Charlie’’ avec sa veste rouge, ses lunettes et sa tuque des canadiens ou bien à un rescapé des pays nordique avec sa veste a carreaux. Même chose pour moi, avec une veste a carreaux encore plus traditionnelle et bleu, ou avec un truc en laine, on pourrait croire que je suis dans Green Peace ou bien que je sors d’une manif contre la guerre du Viêtnam, coiffé d’un bonnet blanc Irlandais style mouton heureux.

Nous marchons, comme sa, vers Notre-Dame. Mais merde, deux caméras en panne…Nous décidons, malgré le manque flagrant de budget, d’acheter une caméra. Cela dépasse largement ma limite de 17 euros par jours, impossible à Paris…C’est essentiel pour avoir de bons souvenirs et les partager ! La Fnac, magasin d’électronique ou l’on trouve des objectifs assez grands pour prendre en photo les cratères de la lune puis retour à Notre-Dame.

L’architecture est vraiment, vraiment incroyable. Les détails, vous en voulez, en voilà. Des trucs étrange comme cette statue qui tien sa tête. Des gargouilles à travers les hommes, de petits bout de pierre taillé ici et la représentant chacune quelque chose, je suppose.

Nous ne sommes pas experts en ce qui concerne la religion, c’est pour nous, intéressant historiquement parlant. Le plafond est très haut et brillant.

La façade extérieure :

Ensuite, la tour Eifel, le classique de Paris, pas mal pour une photo amateur non? Je vais la conseiller pour les cartes postales je crois

Sur les piliers, on lit le mot ‘’Paix’’ dans de nombreuses langues..

Le soir, nous arrivons à Brétigny et passons dans les petits commerces pour acheter des trucs à bouffer, la banlieue n’a rien de spécial. Armel nous fait la bouffe.et nous dormons comme des bébés.

25 mars, Le Louvre, les palais, les merveilles!

Le Louvre, vous le visitez pendant cinq jours et vous n’avez pas tout vu. Les statues et les peintures sont ‘’visité’’ par énormément de personnes. C’est un endroit magnifique, il faut porter attention aux plafonds, ce que la plupart des gens ne font pas, malheureusement. Ce qui est marrant : un nombre ridicule de personnes prennent un nombre ridicule de photos de la Joconde.

Voici une sculpture de je ne sais plus qui (désolé!), qui est détaillé a un point que les muscles et les veines sont visible, tout en préservant la réalité du mouvement.

 Je dois dire qu’un de mes peintres préféré, dans son genre, est Raphael.

Bref, le musé du Louvre est bien, sans guide, il faut être sacrément  calé en Art pour rendre le tout vraiment intéressant, parce que derrière chaque pièces il y a forcément une histoire. Nous n’avions pas de guide, c’est un peu dommage mais ce fut plaisant. Allez-y pour mieux voir!

 26 mars, l’arche de triomphe, ‘’O Champs Élisée lalalalala’’

C’est une grande arche bien sculpté au centre d’un rond point majeur du centre ville et c’est à peu près tout ce que j’ai à dire sur ce monument.

Le soir du 26, Armel viens sur Paris et nous sortons un peu, buvons une bouteille de vin sur la Seine. Nous parlons de tout et de rien puis partons tard pour la gare de Lyon.

27 mars, Montmartre

Le cartier des artistes est vraiment un des plus magnifiques de Paris. Bon, il y a des clubs de danseuses, des sex shop et des je ne sais quoi privé. Il y a aussi beaucoup des concerts et de café, de bars…etc. L’architecture est un peu différente du centre et les gens sont plus relax. De plus, au sommet, vous avez une super vue sur la ville! La cathédrale est belle et moulin rouge, plus bas, c’est plutôt particulier. Très bien aussi.

28 mars, la Tour Eiffel, les galeries Lafayette,Pizzas en bonne compagnie et surprise.

Tout commença par un projet personnel :

Et puis, l’ascension du premier et du second étage. Je dois souligner la bravoure de Léon qui a le vertige parce que c’est vachement haut. Nous avons gravis les escaliers jusqu’au deuxième et laissé le troisième aux centaines de personne qui faisaient la file. 236 millions de visiteurs ont marché sur la tour depuis sa construction. 25 peintres mettent 14 mois à la peindre et elle fait 10 000 tonnes, 1 665 marches.

Les galeries Lafayette c’est trop, trop de consommation, trop cher, trop grand, trop chic, trop ridicule, trop con, nous n’avons pas aimé.

La pizza après par contre, dans un petit commerce pas trop loin, tenu par des gens du Moyen-Orient, fut bien sympa. Ils nous ont parlé de leur vision de la France et de la politique et nous avons fait de même avec le Québec.

Le soir, nous entrons dans un petit bar près de Notre-Dame, dans le cartier Latin. Et, la, Léon avec sa tuque des canadiens de montréal fait fureur. Je ne sais combien de Québécois se retournent et disent ‘’Les canadiens de montréal’’ en levant leurs verres!

Sans le savoir, nous sommes entré dans un petit resto-bar discret ou se tenait, entre autres, un souper pour le tourisme Français et Québécois. Ils participaient à l’exposition ‘’le salon des randonnés’’ a Paris. Nous buvons donc du vin et de la bière jusqu'à pas d’heure jusqu'à la fermeture puis dans un bar pas trop loin. De belles rencontres, très belles rencontres!

29 mars, départ

Le lendemain, Armel est surpris de nous voir chez lui et se fou de notre gueule, nous avons mal a la vie un peu. Nous nous levons et partons pour Chartres, une petite ville pas trop loin de Paris. Nous trichons et restons dans le train jusqu'à Le Mans, puis, du stop jusqu'à Laval (France…).

Bon, j’y vais, nous sommes a Rennes, le 1^er Avril, midi. Nous sommes passé par le mont St-Michel, Saint-Malo (camping près d’un bunker Nazi, Gorron et chez des gens qui nous ont fait dormir chez eux hier, dans un village. La suite bientôt!

Peace, Gab

MONT ST-MICHEL

NOUVELLES ET PHOTOS EN VRAC, Janvier 09.

Belfast, la chaussée des géants, Galway...etc.

23 Mars: Léon et moi quittons l'Irlande pour Paris, c'est le plan !

Je ne travailles plus et Léon ne va plus à l'école, préparatifs pour le voyage de 45 jours.Nous visons principalement la France et l'Italie, puis, la Suisse.

440,000 personnes* sont maintenant sans travail en Irlande, 13.8%* de chômage. Cela place l'Irlande après l'Espagne qui atteint maintenant 18.8%* de chômage. Le gouvernement  Irlandais ne sais plus quoi faire, deux entreprises ferment chaque jours dans le pays. (source:http://epp.eurostat.ec.europa.eu/portal/page/portal/eurostat/home/ et le Galway Advertiser)

                                                                   . . .

Quelques mois de retard, je vais résumer:

28-29 ou 30 Dec?: bouffe de luxe avec Charles, Jocelyne, Ève et Léon puis Romain et Adrien dans un resto de Galway. Charles ne nous laisse aucune chance d'évasion avec la bouffe et le vin et nous paie des bières en partant. Adrien et moi rigolons en pensant qu'avec une soirée pareille le retour a la vie normale sera difficile!

Les semaines environnant noël et le jour de l'an furent les plus froides depuis des décennies, depuis les années 30 disent certains. Le mot <<froid>> est relatif, -12 est le minimum atteint, c'est toutefois exceptionnel pour le pays.Une de ces semaines à couté 600 000 Euros au conseil de ville de Galway! Je mourrais de rire en regardant les Infos qui parlaient des impacts horribles de la <<catastrophe>> et du froid insupportable, la grand-mère de Keyleigh n'en revenait pas que l'on puisse marcher sur les lacs parce que l'eau avait gelé. Elle à déliré quand je lui ai dit que dans mon pays il y avait même des camions sur les lacs!

31 dec- 1er Janvier: Le jour de l'an fut plaisant,entre les parents de Léon et nos amis du pays.Nous étions plus que content d'avoir de la ''famille'' du Québec.Nous nous sommes aussi retrouvé entre amis chez <<Roumki>> et Estibalis et compagnie (amies Espagnoles).

Nouvelle troublante, une femme de plus de 80 ans est agressé et violé dans sa maison le soir même du jour de l'an par un jeune dans la vingtaine toujours recherché par les autorités, sur shantalla Road, ou j'habite.

1er janvier: soirée chez Adrien entre amis, nous passons du très bon temps, Keyleigh est la aussi, à parler avec Justine de tout et de rien. Soirée mémorable entre des jeunes de plein d'endroits du monde.Adrien nous quittera pour la France quelques jours après...

2 janvier: Départ pour Belfast, Irlande du nord, Royaume-Uni. Ville pleine d'histoire d'abord et avant tout. bombardé par les Nasi, explosé par l'IRA et mitraillé par les Anglais et tous les groupes extrémistes. Beaucoup de troubles sont encore visible et trottent dans la brume et les murs de brique qui vous suivent partout.

3 janvier: Belfast est une belle ville, très différente de Dublin, beaucoup plus ''Anglaise''. Nous visitons les murs et la ville dans le bus pour touristes. Ville très troublante, pleine de souvenir du passé. Les murs peint avec des gens cagoulés, ou bien parlant de révolution. Ils sont parfois simplement explosé. Les maisons portant le drapeau de la main rouge ou du drapeau de la République.l'Hotel de ville de Belfast est bien foutue, architecture intéressante.

Nous apprenons plein de choses dans le tour. Nous voyons le chantier de construction de Belfast, il à été pendant longtemps el plus gros au monde et reste toujours dans le top 3. Le Titanic y à d'ailleur été construit. Puisque le passé reste difficile a aborder et que les Irlandais ont un sens de l'humour infini, les habitants de la ville tournent tout au rédicule. L'on dit <<Pendant que les Anglais construisaient le Titanic, les Irlandais construisaient le glacier>>.

Murs de Belfast: (de G a D) carte pour l'indépendance de basc country puis ''Che'' Guevara et la révolution cubaine, un jeune homme et un mur déconnant la violence envers les palesineéun mur détruis autrefois par les troubles et trois bâtiments peint en mémoire des troubles.

3e: Vous entrez sur le territoire des Loyalistes

Le chantier naval de Belfast. Le ''trou'' dans lequel a été construit la base de la coque du Titanic.

4 janvier:Départ avec le chauffeur sympatique de la mini-van qui nous prend juaqu'au Giant causeway. Il nous dit que l'usine la plus grosse de Belfast (si je me souviens bien) est une usine d'avion Bombardier, et oui, le monde est petit! Charles lui fait la fameuse blague du coyotte et des moutons et nous arrivons à destination. Merveille naturelle et étrange, il faut dire...

9 ou 12 Janvier:Je ne sais plus trop la date, c'était un peu après le jour de l'an, dans la semaine ou l'idée d'enlever votre sapin de Noel vous chicotte l'esprit de plus en plus. Romain et moi sommes pseudo attaqués non loin de chez moi par des saoulons, nous nous en sortons bien mais plutot frustré.Nous avons voulu défendre un type au cheveux long que nous croyons etre une jeunne femme qui se fesait frappé par trois connard sur un capot de voiture. Nous passons le reste de la soirée avec Rémi et Claire à manger de la crème glacée,a parler et a guetter la fenêtre du coin de l'œil en maudissant les imbéciles.

21 Janvier: Fête chez moi pour le départ d'un coloc pour l'Argentine. Photo d'un chien-cheval qui traine parfois par ici, c'est un magnifique Irish Greyhound . Voici le salon le lendemain matin accompagné d'un <<cadavre>> inconnu sur le sofa, heure: 1:18 P.M.

Du 23 au 25 Janvier: Léon et moi partons pour les Wicklows mountains un peu à l'arrache au matin du 23. Pusiqu'un village porte le nom de Wicklow, l'on se dit que les ''Wicklow mountains'' doivent être proches...et bien non. Elles se trouvent à 17 kilomètre du village qui, en plus, n'a pas d'Hostel. l'Auto-stop et la marche nous mènerons à Glendalough, un très petit village avec presque rien sauf un immense auberge de jeunesse, juste à coté du parc national.

Photo Wicklow mountains.

( vous remarqué un coin noir, mon appareil a brisé dans cette aventure. Pour une raison inconnue, l'objectif est désaxé, cela me couterais 200 Euro de réparation alors...il a toujours moyen de recadré. Cependant, il est maintenant mort, Léon en moi allons en trouver un a Paris)

Nous partons a pied vers les montagnes, sans carte, parce que nous sommes '' des Québécois et des hommes ''. Nous marchons longtemps au beau soleil du jour, puis, vers 4h, une heure avant le couché du soleil, nous sommes perdu dans une grande foret de sapin artificielle. Le soleil menace de partir loin derrière les montagnes environnantes.

-Une carte sa aurais été pas pire Léon.

-Ouais...je sais.

Alors, nous montons une deuxième montagne pour avoir un point de vue sur les environs. Des lacs, des forets de sapin, des montagnes et puis...la même chose a 360 degré.Et la, bing-bang, cinq minutes, plus de soleil et une lampe de poche brisée. Que la lune. Nous marchons dans la tourbe, les ruisseaux et les clôtures barbelées avec nos sac. Parfois, un de nous deux se pète la gueule dans la tourbe (c'est difficile d'avancer dans la tourbe, c'est instable, mou, jamais de la même forme...) et disparait. On rigole parce qu'on est fatigué. parfois l'on s'arrête pour regarder les étoiles, les ciel est clair, sans nuage.

Un type nous prend sur une route secondaire que nous trouvons après trois heures de marche vers 10h et nous ramène à l'hostel. Nous dormons comme des gros bébé.

***

Vers la fin Janvier, j'ai trouvé un second job au Java. La première semaine de formation fut dingue car je travaillais en plus au Port. Depuis fin janvier, je n'y ai plus travaillé même si je suis encore techniquement un employé. Mon patron viens de m'annoncer que Port fermera ses portes en septembre prochain parce qu'il ne reçois pas assez de client même si il fait tout pour en avoir!

Bon, au prochain article...

Peace, Gab

Critique sur Paris et la France (opinions-vision et faits)…si cela vous intéresse!

Paris, c’est une ville qui a deux faces et elles se démarquent fortement. Au centre et dans les environs, on y trouve beaucoup de gens riches. Les affaires, les stars, la politique et surtout la mode, L’art est du coté de Montmartre et le sexe aussi avec moulin rouge et les centaines de sex shop et de cinémas pornos.

Il y a les banlieues qui sont de riche à pauvre. La banlieue ou habite Armel est plutôt ‘’classe moyenne’’. Par contre, la banlieue un peu plus loin qui est plus importante est carrément plus pauvre. Il y a dans ces banlieue des cités, et la, sa ne rigole plus. Une cité c’est un groupe de bâtiment énorme qui peut contenir jusqu'à quelques milliers d’appartement souvent miteux ou vivent en grande majorité des groupes distincts d’immigrants, a ce que j’ai compris. Ici ce trouve un grand problème de la France avec les politiques de Sarkozy. Ces endroits sont construits pour les immigrants. Les cités causent de la frustration qui entraine la violence et la méfiance.

Il a une grande frustration contre le système, les français en parlent beaucoup. Adrien nous disait souvent que les policiers ne vont plus dans les cités parce que c’est trop dangereux. Et quand l’on regarde la police omniprésente au quotidien et les soldats armé jusqu’aux dents au centre ville, l’on se demande bien qui est le porteur de terreur, le terroriste.

Je vais dire un mot très puissant qui est pourtant acceptable considérant la situation en ce qui concerne ces lois. Je m’explique; une loi interdit à toutes personnes d’héberger ou même de nourrir un immigrant illégal sous peine d’emprisonnement. Cela ne vous rappelle pas la deuxième guerre mondiale, cela ne vous rappelle pas le Nazisme? Dans ce temps, il était interdit d’héberger ou de nourrir un juif. Aucune loi ne vous interdit de nourrir les pigeons ou les chiens errant mais, pas un être humain. Voila, le Nazisme.

Sligo, 26 Nov.

Je suis toujours ici, meme pour noel. Je vous souhaite un joyeux temps des fêtes a tous!

Voyez les nouveautés; Letterfrack, Dublin et Sligo en haut de page. Ps:Sligo est particulierement magnifique..

'' Peut-etre les lucioles ne vivent-telles que le temps de briller un instant d'un vif éclat. Comme nous tous d'ailleur­­s... '' Gabrielle Roy

Pour Francoise LaForge, paix et amour.

Parfois j'aurais aimé être de retour dans ce confort que j'avais au Québec. Parfois, j'aurais aimé vous prêter mes yeux.

Sligo

Sligo est une petite ville charmante dans le compté Sligo, avant le Donegal qui est totalement dans le nord de l'Irlande. Ce qui est magnifique c'est ploutot la nature qui l'entoure. Moi et Adriens avons passé deux jours dans un paradis terrestre, a marcher ici et la pour en voir le plus possible.

Nous parton le matin au 26, dans le bus pour Sligo.Des inondations font rage dans le pays depuis plus d'une semaine, des gens sont sans abris dans certains endroit. Effectivement, nous prenons conscience du désastre des la sortie de Galway. Ceci est un champ..en principe:

Dans le village, quelque chose nous fait déliré. Nous sommes la pour escalader la montagne. Cependant, elle est plus grosse que ce que nous avons cru voir.

Nous arrivons a Sligo vers 11h et nous dirigeons vers Strandhill, une plage. La montage sera pour demain. Le monsieur trop sympatique de l'hostel nous a dit qu'un policier est mort sur la montagne, il faut etre prudent et surtout, etre en bas pour le couché du soleil. ce sera donc pour demain..

Strandhill

Adrien Castets

La montagne de sable.

vue d'une montage a Strandhill.

La plage.

La plage et le ciel, une des plus belles...

Le coucher de soleil et la montagne, vers 4h30

                                                                                          ***

Le lendemain matin, nous allons vers la montagne ''Ben bulben (526m)'', a pied. Nous avons un peu la ''tête dans le cul'' comme dirait Adrien. Nous avons abusé un peu du bon vin la veille, pour célébrer la liberté.

Nous marchons plus d'une heure avant qu'un Anglais joyeux nous prennent jusqu'au pied de la montagne par de petits chemins étroits.

La vue, encore très loin du sommet.

Je bombarde la page de photo mais nous en avons une véritable collection...

Un nuage nous arrive alors en pleine geule avec du vent et de la pluie pour quelques minutes. Nous sommes a une bonne distance dans les airs, ce qui nous donne une vue incroyable sur les environs.

en haut, le sommet de la montagne, vue sur le nord,en bas, une fausse foret de sapin. Trop souvent présente en Irlande parce que tout le monde c'est servi dans la foret qui est maintenant rarement naturelle.

Nous retournons a Galway le soir, satisfaits de notre journée. Ravi de vous avoir bombardé de photo, a plus.

Dublin, 17 Novembre 2009.

16 Novembre

Assez tot le matin, moi et Adriens nous mettons en mode <<motivation>>. Nous arrivons à la gare de bus/Train de Galway dans l'idée de se rendre à la capitale. Nous avons nos billets, nos sacs presque vide et une geule d'endormis. Puisque je vais prendre le train pour la troisième fois de ma vie je le regarde avec interet en me demandant a quelle vitesse ce truc peut avancer. Adrien en a rien à foutre puisqu'il est un habitué du train. Nous embarquons donc sans plus attendre et tombons endormis pas très longtemps. Le train n'est pas très rapide, il met plus de deux heures à faire Galway-Dublin. Toujours mieux que le bus parcontre.

Arrivé à la gare Dublin Heuston, nous débarquons sans trop savoir ou nous sommes. Nous réalisons que nous ne sommes pas loin du centre-ville. Nous marchons alors en regardant les trucs environant.

Nous prenons une marche dans les environs du pear of Dublin. Plein de souvenirs me passent par la tete. J'étais la six mois plus tot, au meme endroit, avec la geule la plus incrédule qui soit possible, étant convaincu d'etre sur mars.

Puis, nous marchons près de la rivière qui sépare Dublin en deux.L'architecture moderne de Dublin est magnifique. C'est une peu du vieux et du neuf. J'ai souvent dit que je n'aimais pas Dublin. Je n'aimerais pas y habiter, mais, c'est une belle ville. Adrien c'est beaucoup amusé avec mon appareil photo et il en a pris des belles!

Le Oliver St-John Gogarty sur temple bar. Un pub sympathique. Deux boites électriques peinte et un papier peint/grafiti douloureux au centre-ville.

Le soir venu, nous allons voir le monument de la famine, puis, le centre commercial St-Stephen's green.

Nous allons ensuite à l'hostel ou nous rencontrons un Anglais, deux francais et deux Italiens. Nous passons la soirée avec eux dans la partie fumeur de l'hostel à parler de tout et n'importe quoi. Nous sortons aussi dans un immense pub vide.Nous nous couchons tard, vers 2h30.

17 Novembre

Nous nous levons tot et marchons, marchons, puis, marchons....Nous allons au musé National d`Irlande ou l'on trouve des trucs sur les vikings, les celtes, la préhistoire et les ''Brits''. On y Trouve aussi trois cadavres décomposé a moitié de plus de 2000 ans. l'un ddes cadavres a le coup dans une postion impossible avec la bouche ouverte, les mains tordues, pas de jambes, la peau grise et des cheveux roux presque intactes...charmant quoi. Nous sortons du musé dans l'apres-midi un peu chuqué par cette vision 'horreur Question de nous faire plaisir, nous prenons du soleil car celui-ci ne semble plus existé a Galway! Le soir, nous boufons un gros kebab et rentrons a la maison.

Cliquez sur les photos pour voir plus grand.

Le 17 Octobre 2009.

Vers midi, nous partons à pied vers le connemara, dans l'idée d'aller à la peche sur le stop. Une Francaise qui travail au café d'Adrien nous prend jusqu'à...nul part. Après une bonne heure et demi, une femme hippie dans une voiture miniature nous prend.
-tu vas ou?
-Letterfrack, sa vous dit?

Nous nous consultons en francais moi et Léon.

-Il parrait qu'il y a une montagne à escalader là bas, sa te dit?
-Ouais, j'pense que l'Allemande en avait parler, qu'il dit.-Yep.

Nous allons donc a Letterfrack, dans le nord du connemara, au dessus du parc National du comté.

Nous parlons de tout et de rien, elle viens de Letterfrack et à un trentaine d'année. Elle nous dit que la montagne est la principale attraction du village avec le petit collège. Nous arrivons à Letterfrack vers 2h30 ou 3h.

Nous mangeons vite fait et nous mettons en marche.Il fait vraiment beau pour une journée du mois d'octobre, en fait, pour une journée sur la cote ouest point.

Nous montons et prenons des photos avec l'idée irréaliste d'etre de retour à Galway pour la soirée.

Nous montons pendant quelques heures, hors du sentier. À mis-chemin, l'on met chacun une jambe dans une crevasse, simultanément, ce qui déclanche un fou rire incontrolable.Nous montons encore dans des endroits parfois apiques. À la vue du sommet, une idée vient à Léon en regardans la pile de roche que les gens ont monté, une par une. Il regarde une immense roche en contre-bas et me regarde.

-Sa, c'est notre roche.Qu'il dit en la pointant du doigt.

Nous montons la roche vraiment lourde sur le sommet, avec un effort de guerre.

Nous écrivons fièrement nos initiales: G & L.

Commes des cons, nous la montons sur le sommet de la pile, ce qui fait de la roche l'ultime sommet de la montagne.

Le soir, nous allons prendre une pinte dans l'un des 4 pubs ( pour une ville sans maisons apparante) puis, nous dormons comme deux bébé, à moitié mort. Nous dormons dans le monastery hostel, un vieux monastère, un hostel énorme.

18 Octobre 2009

Puisque l'auto stop n'est pas populaire, nous prenons le bus de retour pour Galway et l'aventure se termine là pour la journée! Nous parlons de l'aventure à Adrien qui insistera pour que je retourne avec lui le lendemain.

19 Octobre 2009

Meme village, meme montagne, meme plan, cependant, Il y a quelque chose qui nous inquiète un peu Adrien et moi. Nous sommes à mi-chemin du sommet et le vent soufle à une vitesse folle. Il pleut un peu, mais, c'est surtout le vent qui fait peur.

-Sa serait con de retourner maintenant, on est presque en haut gars, dit Adrien.

-Ouais, j'avoue...

Nous montons encore et encore, les nuages sont plutot bas et la pluie s'emplifie. Les mararons sur ma tuques font un certain vacarme avec les goutes de pluies qui les frappes. Plus nous montons, moins nous sommes rassurés.

Arrivé au sommet, le vent est vraiment puissant, nous devons marcher près du sol ou nous mettre contre des parrois rocheuses. encore plus hallucinant; l'eau d'une flaque s'envole!

-MERDE, T'AS VU SA? Me crie Adrien.

je fait oui de la tete et lui pointe un rocher en contrebas. Nous, nous abritons un instant en reprenant notre soufle et rions en nous disant que nous sommes vraiment dans la merde. Nous avons peine à voir et à respirer proprement avec le vent et a pluie. De plus, nous sommes trempé, mes pantalons ont coulé dans mes bottes imperméables, Adrien semble trempé de la tete aux pieds aussi. Nous regardons un peu le paysage malgré tout, et partons enfin pour redescendre.

-Arien, il va vraiment, vraiment faloir faire attention pour ne pas se peter la geule parce que si on glisse, on ne glissera pas deux fois.

-Ouais, je sais!

Nous redescendons et le Francais sort ses expressions:

-J'me caille le fion putain! J'me gele l'onion !

Nous arrivons en bas après un total d'environ 5h de marche aller-retour du village. Nous allons au meme hostel qu'avec Léon et essayons de contacter le manager; pas de réponse. Il ne semble pas avoir de clé pour accèder aux machines à laver, mais, il y a des foyers un peu partout, des foyers au truc brun qui ressemble à une brique, soit, de la tourbe (très populaire dans le pays, pusiqu'il n'y a presque plus de foret).

Nous nous installons dans les chiotes ou l'on trouve un canapé, un foyer, des lumières de noel bleu comme éclairage et, encore plus étrange, de la musique classique. Nous essayons de faire sècher nos vetements devant le faible feu et ajoutons n'importe qu'elle connerie pour augmenter la flame. Le proprio vient soudainement en nous engeule comme une fou. Il change tout aussi soudainement de caractère, s'excuse et nous propose le sèche linge comme alternative.

Nous allons donc au marchant du coin en jogging trop court avec une geule de zombie se procurer des pates et une bouteille de vin rouge comme récompense. Le manager de l'hostel nous donne meme du poisson et nous bouffons et buvons a la santé de la sacré montagne avant de dormir, au sec!

30 et 31 Octobre, Halloween.

En Irlande, Halloween est une des fetes les plus importantes de l'année. La fete meme viens des druides celtiques, c'était sept jours de célébrations, les vivants accèptaient la venue des morts dans leurs monde en se masquant. Ils célèbraient entre autre autour d'un feu, constitué d'os d'animaux. c'était aussi la célébration de la fin de la récolte.

À Galway, l'on peu dire que l'Halloween était du 27 au 31 octobre.Les traditions ayant un peu changé après l'arrivé d'Arthur Guinness, cela se fete maintenant plus en buvant tout et n'importe quoi en étant déguisé ou à moitié nu/déguisé. Il n'y a pas de porte à porte comme en Amérique pour la récolte de friandise. Il y a cependant une récolte d'argent pour les plus défavorisés.